Ici où il y a la mer et un vent si fort
Sur une vieille terrasse donnant sur le golfe de Sorrente
Un homme embrasse une fille après qu'elle eût pleurée
Puis il s'éclairci la voix et recommence son chant
Je t'aime tant
Mais tant tu sais
C'est devenue une réaction en chaîne désormais
Qui dissous le sang dans les veines, tu sais
Je vois ces lumières au milieu de la mer, et je pense aux nuits là-bas en Amérique
Mais ce ne sont que les lampions des pécheurs et le sillage blanc d'une hélice
Il ressentit une douleur dans la musique, et il se leva du piano
Mais lorsqu'il vit la lune sortir d'un nuage
Même la mort lui sembla plus douce
Il regarda la fille dans les yeux, ces yeux verts comme la mer
Puis à l'improviste une larme surgit, et lui il crut qu'il se noyait
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Bonjour Jean-Marie !
RépondreSupprimerQuelle voix !
Si le personnage m'a toujours posé questions, son talent est incontestable !
Il en a fait du chemin depuis "N'importe quoi" !
Bisous