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Puisque tu pars (Jean-Jacques Goldman)

 

 

 

 

Puisque tu pars (Jean-Jacques Goldman)

 

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Puisque l'ombre gagne
Puisqu'il n'est pas de montagne
Au-delà des vents, plus haute que les marches de l'oubli
Puisqu'il faut apprendre
À défaut de le comprendre
À rêver nos désirs et vivre des "ainsi soit-il"
Et puisque tu penses
Comme une intime évidence
Que parfois même tout donner n'est pas forcément suffire
Puisque c'est ailleurs
Qu'ira mieux battre ton cœur
Et puisque nous t'aimons trop pour te retenir
Puisque tu pars
Que les vents te mènent où d'autres âmes plus belles
Sauront t'aimer mieux que nous puisque
L'on ne peut t'aimer plus
Que la vie t'apprenne
Mais que tu restes le même
Si tu te trahissais nous t'aurions tout à fait perdu
Garde cette chance
Que nous t'envions en silence
Cette force de penser que le plus beau reste à venir
Et loin de nos villes
Comme octobre l'est d'avril
Sache qu'ici reste de toi comme une empreinte indélébile
Sans drame, sans larmes
Pauvres et dérisoires armes
Parce qu'il est des douleurs qui ne pleurent qu'à l'intérieur
Puisque ta maison
Aujourd'hui c'est l'horizon
Dans ton exil essaie d'apprendre à revenir
Mais pas trop tard
Dans ton histoire
Garde en mémoire
Notre au revoir
Puisque tu pars
Dans ton histoire
Garde en mémoire
Notre au revoir
Puisque tu pars
 

Paroliers : Jean-Jacques Goldman
Paroles de Puisque tu pars 

   

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Kendji Girac (les Yeux de La Mama)

Coco Câline  (Julien Doré )

 

                               

 

 

 

Françoise Hardy (La Maison où j’ai grandi)

 

 

 

 

Françoise Hardy  La Maison où j’ai grandi

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Quand je me tourne vers mes souvenirs
Je revois la maison où j'ai grandi
Il me revient des tas de choses
Je vois des roses dans un jardin
Là où vivaient des arbres maintenant
La ville est là
Et la maison, les fleurs que j'aimais tant
N'existent plus
Ils savaient rire, tous mes amis
Ils savaient si bien partager mes jeux
Mais tout doit finir pourtant dans la vie
Et j'ai dû partir, les larmes aux yeux
Mes amis me demandaient "pourquoi pleurer?"
Découvrir le monde vaut mieux que rester
Tu trouveras toutes les choses qu'ici
On ne voit pas
Toute une ville qui s'endort la nuit
Dans la lumière
Quand j'ai quitté ce coin de mon enfance
Je savais déjà que j'y laissais mon cœur
Tous mes amis, oui, enviaient ma chance
Mais moi, je pense encore à leur bonheur
À l'insouciance qui les faisait rire
Et il me semble que je m'entends leur dire
Je reviendrai un jour, un beau matin
Parmi vos rires
Oui, je prendrai un jour le premier train
Du souvenir
Le temps a passé, et me revoilà
Cherchant en vain la maison que j'aimais
Où sont les pierres et où sont les roses?
Toutes ces choses auxquelles je tenais
D'elles et de mes amis plus une trace
D'autres gens, d'autres maisons ont volé leurs places
Là où vivaient des arbres maintenant
La ville est là
Et la maison, où est-elle, la maison
Où j'ai grandi?
Je ne sais pas où est ma maison
La maison où j'ai grandi
Où est ma maison?
Qui sait où est ma maison?
Ma maison, où est ma maison?

Paroliers : Adriano Celentano / Edmond Bacri / Luciano Beretta / Mariano Detto / Michele Del Prete
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Kendji Girac (les Yeux de La Mama)

Coco Câline  (Julien Doré )

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Pour un cœur sans amour (MIREILLE MATHIEU)

 

 

 

 

Pour un cœur sans amour 

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Les ennuis de la vie

Deviennent tragédies

Pour un cœur sans amour,

Même sous le ciel bleu

Il pleut toujours un peu

Pour un cœur sans amour,

Et malgré ses lumières

La rue est un désert

Pour un cœur sans amour,

Car il n’y peut chercher

Le visage espéré,

Le rire de son amour

 

Mais pour nous, les ennuis nous font rire

Il n’y a plus d’ennuis

Quand on partage à deux

Il y a le meilleur sans le pire

Le pire s’est effacé

Pour nos cœurs amoureux

 

une superbe chanson que je ne connaissais pas et que j'ai trouver 

 

 

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Kendji Girac (les Yeux de La Mama)

Coco Câline  (Julien Doré )

 

                               

 

 

 

Viannez (beau Papa )

 

 

 

 

 Viannez (beau Papa )

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J'avais pas prévu d'un jour adopter
Mon enfant j'ai dû surtout m'adapter
Y'a pas que les gènes qui font les familles
Des humains qui s'aiment suffisent
Et si l'averse nous touche, toi et moi
On la traverse à deux, à trois
Et si l'averse nous touche, toi et moi
Prends ma main de beau-papa
J't'attendais pas
J'te laisserai pas
Même sans l'même sang, on s'aimera
Non, je ne volerai jamais la place du premier qui t'a dit "Je t'aime"
Sur ton visage, on voit son visage et c'est ainsi que tu es belle
De vous à moi, c'est moi, j'avoue, qui me suis invité
Dans sa vie, là, dans la vie où elle n'a rien demandé
Et si l'averse nous touche, toi et moi
On la traverse à deux, à trois
Et si l'averse nous touche, toi et moi
Prends ma main de beau-papa
J't'attendais pas
J'te laisserai pas
Même sans l'même sang, on s'aimera
On s'aimera


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Kendji Girac (les Yeux de La Mama)

Coco Câline  (Julien Doré )

 

                               

 

 

 

Formidable (Stromae )

 

 

 

 

 Formidable (Stromae )

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Formidable, formidable
Tu étais formidable, j'étais fort minable
Nous étions formidables
Formidable
Tu étais formidable, j'étais fort minable
Nous étions formidables
Oh, Bébé, oups, Mademoiselle
J'vais pas vous draguer, promis juré
J'suis célibataire, depuis hier, putain
J'peux pas faire d'enfant et bon, c'est pas...
Hé, reviens, cinq minutes quoi, j't'ai pas insultée
J'suis poli, courtois, et un peu fort bourré
Mais pour les mecs comme moi
Vous avez autre chose à faire, hein
M'auriez vu hier
J'étais formidable, formidable
Tu étais formidable, j'étais fort minable
Nous étions formidables
Formidable
Tu étais formidable, j'étais fort minable
Nous étions formidables

 

Paroliers : Paul Van Haver / Lionel Capouillez
 

 

alors on danse


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Kendji Girac (les Yeux de La Mama)

Coco Câline  (Julien Doré )

 

                               

 

 

 

Florent Pagny (Caruso)

 

 

 

 

 Florent Pagny (Caruso)

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Ici où il y a la mer et un vent si fort

Sur une vieille terrasse donnant sur le golfe de Sorrente

Un homme embrasse une fille après qu'elle eût pleurée

Puis il s'éclairci la voix et recommence son chant


Je t'aime tant

Mais tant tu sais

C'est devenue une réaction en chaîne désormais

Qui dissous le sang dans les veines, tu sais


Je vois ces lumières au milieu de la mer, et je pense aux nuits là-bas en Amérique

Mais ce ne sont que les lampions des pécheurs et le sillage blanc d'une hélice

Il ressentit une douleur dans la musique, et il se leva du piano

Mais lorsqu'il vit la lune sortir d'un nuage

Même la mort lui sembla plus douce

Il regarda la fille dans les yeux, ces yeux verts comme la mer

Puis à l'improviste une larme surgit, et lui il crut qu'il se noyait


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Kendji Girac (les Yeux de La Mama)

Coco Câline  (Julien Doré )

 

Florent Pagny (Caruso)

                               

 

 

 

Amir (ont dirait )

 

 

 

 

 Amir (ont dirait )

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Tu me dis de regarder la vie en couleur
Quand il fait noir autour de moi
Sur le dos j'ai trainé pas mal de douleurs
Toi tu me portais à bout de bras
Non, non, non
Je n'ai pas toujours été sûr de moi
J'ai douté tellement de fois
Non, non, non
Je ne sais pas ce que je ferai sans toi
Oh yeah
On dirait, qu'on a tous un ange
On dirait, on dirait bien que c'est toi
On dirait, que dans ce monde étrange
On dirait, que t'as toujours été là
Tu me dis que mon rêve est juste à côté
Que j'ai juste à tendre la main
Toute ma vie j'peux la passer à t'écouter
La douceur est ton seul refrain

Paroliers : Nazim Yahya Kemal Khaled / Jerome Queriaud59133929_282 (517x82, 11Kb)

 

Kendji Girac (les Yeux de La Mama)

Coco Câline  (Julien Doré )

 

                               

 

 

 

Lara Fabian ( humana)

 

 

 

 

Lara Fabian ( humana) 

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Il te faudra partir
Au lever du soleil
Quitter cette vie
Qui tous les jours pareil
Détruira tes rêves
Dérangera ton ciel
Humana
Plier tout tes bagages
Partir avec les tiens
Entreprendre un voyage
Qui te mènera plus loin
Ne te retourne pas
Mon visage sera toi
Humana
Et poussé par tous les vents
Même si certains retiendrons ta foi
Ne regarde que la lumière
Et élève la voix
Humana
Chante plus fort
Et marche encore
On parle de toi
Humana
Assouvir ce désir
D'être enfin le roi
D'étendues si vastes
Que tu n'imaginais pas
Tout tenir dans tes mains
Mais tu y es déjà
Humana
Ne te retourne pas
Au lever du soleil
Mon visage sera toi
Humana!

Paroliers : Lara Fabian / Rick Allison



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Kendji Girac (les Yeux de La Mama)

Coco Câline  (Julien Doré )

 

                               

 

 

 

Jean Noël ( Hervé Villard)

 

 
 

 

 

 

 

 en attendant Noël avec vous

 

en attendant noël  en découvrant peut être des chansons non connu ou le plaisir de réentendre ces chansons qui sont incontournables j'ai trouvé une chanson d'Hervé Vilard que je ne connaissais pas en fouillant sur youtube et aussi le plaisir de la découvrir peut être que vous connaissez cette chanson moi pas ,donc a suivre pour cette aventure avec vous 

 

Il n'y a pas bien longtemps
Un tout petit enfant
Me parlait, me parlait de Noël
Et le soir en s'endormant
Dans son tout petit lit blanc
Il me parlait, me reparlait de Noël
Où es-tu mon ami
Où es-tu aujourd'hui?
Toi qui me parlais de Noël
Les années pourront passer
Je ne pourrai m'empêcher
D'avoir une pensée pour toi à Noël
Jean-Noël, c'est Noël
Je revois nos joies d'enfant
Jean-Noël, c'est Noël
Je nous revois comme avant
Il n'y a pas bien longtemps
Avant que l'on nous sépare
On riait, on chantait à Noël
J'ai pleuré pour ton départ mais
Si ce mot arrive à temps
Viens me voir cette année à Noël
Jean-Noël, c'est Noël
Je revois nos joies d'enfant
Jean-Noël, c'est Noël
Je nous revois comme avant
Où es-tu mon ami
Tu dois avoir grandi?
Toi qui me parlais de Noël
Les années pourront passer
Je ne pourrai m'empêcher
D'avoir une pensée pour toi à Noël
Jean-Noël, c'est Noël
Je revois nos joies d'enfant
Jean-Noël, c'est Noël
Je nous revois comme avant

Paroliers : Herve Vilard
 
 

en attendant Noël avec vous

 

en attendant Noël avec vous

 

 

En attendant Noël

 

 

 
 

en attendant Noël avec vous

 

 

 

 

 

 en attendant Noël avec vous