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Dalida (une Etoile )

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copie interdite, le copier coller ou la transformation interdit

ne surtout pas

sortir ma signature que je ne vois jamais une de mes créations de

Dalida que j'ai fait moi même sur un blog,attention 

 

 

 

Dalida(30 ans déja)créations copie interdite bien voir le certificat un clic et c'est a lire)Copyright c97634)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Dalida(26 ans dèja)créations droits réservés copie interdite)

 

Dalida(26 ans dèja) pour mon père

Yolanda Gigliotti dite Dalida nèe au Caire le 17 Janvier 1933

 disparue le 3 Mai 1987

Yollanda gigliotti, dite Dalida, est une chanteuse et actrice françaisea, née le 17 janvier 1933 au Caire (Égypte) et morte le 3 mai 1987 à Paris.

Issue d'une famille italienne installée en Égypte, elle est élue Miss Égypte  et

tourne plusieurs films au Caire. Résidant en France à partir de 1954, elle connaît

son premier succès de chanteuse avec le titre Bambino. Se façonnant un répertoire

regroupant

plus de 700 chansons interprétées en plusieurs langues, elle devient une grande figure

de la chanson française et bénéficie d'une popularité dépassant la scène francophone.

Parmi ses chansons les plus connues, figurent Come primaLes GitansGondolier,

 Les Enfants du PiréeItsi bitsi petit bikiniLa Danse de ZorbaBonsoir mon amour,

 Le Temps des fleursDarla dirladadaParoles... Paroles...Gigi l'amoroso

Il venait d'avoir 18 ansSalma Ya SalamaLaissez-moi danser et Mourir sur scène.

Embrassant plusieurs styles musicaux, tels que le twist, la pop et le raï, elle est

également une des premières artistes françaises à interpréter des chansons disco

 avec les titres J'attendrai et Bésame mucho.

Souffrant d’une dépression — en raison notamment d'une succession de drames personnels 

elle se suicide quelques mois après avoir été l'actrice principale du film

dramatique égyptien Le Sixième Jour. Sa vie privée et sa mort font d'elle une icône 

au destin tragique.

 

cadeau de la douceur devivre

 

 

Dalida(30 ans déja)créations copie interdite bien voir le certificat un clic et c'est a lire)Copyright c97634)

   

                                

Dalida(30 ans déja)créations copie interdite bien voir le certificat un clic et c'est a lire)Copyright c97634)

 

 

Dalida(30 ans déja)créations copie interdite bien voir le certificat un clic et c'est a lire)Copyright c97634)

 

Dalida(30 ans déja)créations copie interdite bien voir le certificat un clic et c'est a lire)Copyright c97634)

 

 

 pour les trente ans de la disparition de la chanteuse nous avons ajouté

des nouvelles créations faites par nos soins c’était dans le week-end du 3 mai

1987 qu'elle nous quittais mais tout ceux qui l'ont connue ne l'ont pas oubliée. 

 

 Dalida(30 ans déja)créations copie interdite bien voir le certificat un clic et c'est a lire)

Dalida(30 ans déja)créations copie interdite bien voir le certificat un clic et c'est a lire)Copyright c97634)

 En fait, elle se retrouve vraiment seule dans cette grande ville froide.

Elle est obligée de se débrouiller avec de faibles moyens.

Les temps sont difficiles. Elle commence pourtant à prendre

des cours de chant. Son professeur est tyrannique mais efficace.

Il l'envoie faire un essai dans un cabaret des Champs-Elysées.

Elle y fait ses premiers pas de chanteuse.

Elle roule les "r" mais fait preuve déjà d'un grand professionnalisme.

Elle est ensuite embauchée à la Villa d'Este, autre club légèrement

plus huppé que le précédent. Elle y est présentée comme la "Révélation de la chanson française".

Bruno Coquatrix qui vient de racheter un vieux cinéma parisien,

l'Olympia, anime une émission de variété,

"Numéros un de demain" sur la station de radio,

Europe 1. Dalida est invitée et elle choisit d'interpréter

"Etrangère au Paradis". A cette occasion, elle rencontre

deux hommes qui chacun dans leur domaine ont des ambitions bien affirmées :

lucien morisse, directeur artistique d'Europe 1, et Eddy Barclay,

éditeur de disques. Ils sont décidés à trouver la perle

qui leur permettra de lancer leurs entreprises respectives.

Dalida semble être l'artiste qu'il leur faut. 

Elle enregistre son premier 45 tours chez Barclay, "Madonna",

sur les conseils avisés de lucien Morisse en 55. En fait

c'est avec "Bambino" que Dalida va vraiment s'imposer.

Le nouveau 45 tours est matraqué toute la journée sur les

ondes d'Europe 1, opération pilotée par Lucien Morisse.

C'est un immense succès. 1956 est pour Dalida l'année de tous

les succès. Elle fait ses premiers pas à l'Olympia en vedette américaine

de Charles Aznavour. "Bambino" la propulse et le public

l'accueille avec enthousiasme. Il en redemande.

C'est chose faite en septembre où on frise l'émeute à l'entrée.

Dalida fait désormais les couvertures des magazines.

Le 17 septembre 57, elle reçoit son disque d'or pour

le 300.000ème exemplaire de "Bambino".

Lucien Morisse est devenu plus qu'un pygmalion pour la jeune chanteuse.

Une idylle est né entre eux qui n'est pas toujours évidente

à assumer car le directeur artistique d'Europe 1 est déjà marié.

Il envisage sérieusement de divorcer car leur liaison est mal perçue.

Pour Noël 57, Dalida enregistre la chanson qui

est son deuxième succès important, "Gondolier". En 58,

elle reçoit l'Oscar de Radio Monte-Carlo, qu'elle garde sept ans de suite.

Puis, elle part en tournée. Elle passe ensuite à Bobino

où elle triomphe avec, entre autres, dix chansons classées

dans les hit-parades. L'année suivante, elle commence

une tournée dans le pays de ses grands-parents, l'Italie.

Elle y connaît un grand succès qui va bientôt s'étendre à toute l'Europe. 

Après un faux départ pour les Etats-Unis où certains la voyaient

déjà en haut de l'affiche, elle retourne en

*triomphatrice au Caire, sa ville natale.

Elle est fastueusement reçue. La presse l'encense et la surnomme

"la voix du siècle". Elle retrouve sa famille, mais les

choses ont changé depuis son départ. De retour en France,

elle rejoint Lucien Morisse à Paris qui continue à lui faire

enregistrer des succès. La relation qu'ils entretiennent

en dehors de leur vie professionnelle est difficile à comprendre

pour l'extérieur, car il semble qu'elle se soit usée avec le temps.

Le mariage tant attendu, tarde à se faire. Le 8 avril 61,

après de nombreuses tergiversations, ils se marient à Paris.

Elle fait venir sa famille dans la capitale française puis part

en tournée tout de suite après le mariage. A cette occasion,

elle rencontre Jean Sobieski lors d'une escale à Cannes.

Elle tombe amoureuse de lui. Un bras de fer va alors commencer

entre elle et Lucien morisse . Malgré sa dette artistique

envers lui, elle désire retrouver sa liberté, ce qui est

difficile à accepter pour le nouveau marié. Il finira par s'y faire.

Malgré sa nouvelle passion, Dalida n'oublie pas sa carrière.

La vague yéyé débarque en France. En décembre 61,

elle passe à l'Olympia pour la première fois en vedette.

La première partie s'appelle Richard Anthony.

Les jeux sont loin d'être faits car Dalida ne fait

plus office de jeune première dans le monde du showbiz.

C'est pourtant un triomphe. Cela réconforte la chanteuse

et ses fans. Elle se produit durant un mois dans

la salle qui accueille plus de deux mille spectateurs par soir.

Puis elle part en tournée, notamment à Hong Kong et au Vietnam,

où elle est une véritable idole.

L'été 62, Dalida chante "Petit Gonzalez" et obtient à nouveau

le succès qui la suit depuis longtemps.

Elle touche avec cette chanson gaie et rapide un

public plus jeune. A cette époque, elle achète sa fameuse maison

de Montmartre. La maison qui ressemble au château

de la Belle au Bois dormant est en fait perché sur un

des quartiers les plus célèbres de Paris. Elle y demeurera

jusqu'à la fin de sa vie. Après le divorce avec Lucien Morisse

son emménagement dans sa nouvelle maison, Dalida finit par

rompre avec Jean Sobieski. Elle prend un peu de recul.

Elle se métamorphose, devient plus sophistiquée

et continue son travail d'autodidacte en lisant toujours plus.

En août 64, elle achève sa transformation en devenant blonde.

Le changement de couleur peut paraître anodin, pourtant

il reflète un changement psychologique.

Le 3 septembre, elle reprend l'Olympia en toute confiance

cette fois-ci. Elle est de fait, la chanteuse préférée

des français, ayant survécu à la vague yéyé et toujours

présente dans le milieu de la variété européenne.

En 65, elle chante "La danse de Zorba" sur la musique

de Théodorakis qui composa la bande originale du film "Zorba le Grec".

Nouveau succès. Mais elle rêve de mariage et aucun prétendant

ne se profile à l'horizon. La chanson lui prend tout son temps,

entre galas et enregistrement de disques.

Fin 66, son jeune frère Bruno, venu la rejoindre

depuis quelques années à Paris, et qui pour les besoins

de sa carrière a pris le nom de son frère aîné, Orlando,

prend en main la carrière de sa sour. Rosy, leur cousine

est devenue la secrétaire de la chanteuse. Tout se passe en famille.

En octobre 66, la maison de disques italienne

RCA lui présente un jeune auteur-compositeur

plein de talent Luigi Tenco. Ce jeune homme fougueux

et contestataire fait forte

impression à Dalida. Pour une nouvelle campagne italienne,

le label décide de présenter la chanteuse au Festival de San Remo.

Luigi se charge d'écrire la chanson.

De nombreuses rencontres ont lieu entre les deux artistes.

Une réelle passion naît entre eux.

Ils décident de se présenter à San Remo tous les deux pour, en fait,

la même chanson lors du gala du Festival en janvier 67 : "Ciao Amore".

La pression est forte car Dalida est une star

en Italie et Luigi Tenco un jeune débutant.

A cette occasion, ils annoncent à leur proche leur mariage ,

prévu en avril. Malheureusement, la soirée tourne à la tragédie,Luigi Tenco ,

extrêmement angoissé, et sous l'effet de l'alcool et de tranquillisants, ne supporte

pas que le prix échappe à l'un et à l'autre. Il fustige les membres du jury

et dénonce la mainmise de l'argent sur le festival. Dégoûté et incompris,

il se suicide dans la chambre de son hôtel.

 Dalida est anéantie.

Quelques mois plus tard, désespérée, elle tente

à son tour de se suicider à l'aide de barbituriques.

Cet épisode malheureux augure en fait, une nouvelle ère dans la carrière de Dalida.

La voilà presque introvertie cherchant l'apaisement mais pourtant

décidée à reprendre les choses en main. C'est le début de la période

"Madone" en robe longue blanche. Durant l'été, plus ou moins rétablie,

elle se produit pour quelques dates dans toute la France.

La dévotion du public semble éternelle pour "Sainte Dalida", comme

la surnomme la presse.

Le temps de "Bambino" est révolu. Elle lit maintenant beaucoup,

s'intéresse à la philosophie, se passionne pour Freud et s'initie au yoga.

L'élévation de l'âme est désormais sa seule raison de vivre.

Mais sa carrière continue : elle retourne en Italie pour participer à

une célèbre émission de télévision, et le 5 octobre, remonte

sur la scène de l'Olympia. La renaissance passe par là et c'est une nouvelle fois un

triomphe.

Au printemps 68, elle repart en tournée à l'étranger.

 

 

 
  
 
 
 
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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